Composer: Charles François Gounod
Performer: Chor des Bayerischen Rundfunks, Edgaras Montvidas, Jérôme Boutillier, Judith van Wanroij, Tassis Christoyannis, Artavazd Sargsyan, Juliette Mars, Boris Pinkhasovich, Jennifer Holloway
Orchestra: Munchner Rundfunkorchester
Conductor: Hervé Niquet
Number of Discs: 2
Format: FLAC (tracks)
Label: Bru Zane
Catalogue: BZ1035
Release: 2019
Size: 1.53 GB
Recovery: +3%
Scan: yes
Le Tribut de Zamora
CD 01
Acte I
01. Prélude
02. Chœur. Au vieux pays de Cantabrie
03. Aubade. Ô blanc bouquet de l’épousée (Manoël)
04. Scène. Qu’entends-je ?
05. Vision et Arioso. La torche du vainqueur brûlait la ville prise (Xaïma)
06. Scène. Le seigneur sarrasin parle à ma fiancée
07. Duo. Pourquoi ce langage odieux ? (Xaïma, Manoël)
08. Arioso. Ce Sarrasin disait que mon seigneur et maître (Xaïma)
09. Chœur. Entendez-vous la cloche ailée
10. Scène. Que la cloche se taise et qu’on ferme l’église
11. Arioso et Scène. Vous osez proférer des menaces (Ben-Saïd)
12. Finale. Voici le premier nom
13. Finale (Suite). Xaïma Ferreras !
Acte II
14. Chœur. Fêtons, fêtons l’anniversaire
15. Kasidah. La flèche siffle
16. Scène. Assez ! je ne veux pas qu’on chante
17. Air. Que me dis-tu ? Qu’il faut encore te suivre ? (Hermosa)
18. Scène, Marche et Chœur. Ah ! voici le convoi d’Espagne
19. Scène. Je connais cet homme, il me semble
20. Récitatif. Notre très clément souverain (Le Cadi)
21. Marche des captives
22. Scène et Arioso. Seule en ce lieu (Xaïma, Hermosa)
23. Finale. Oh ! la pauvre femme
24. Morceau d’ensemble. L’ange qui chaque nuit
25. Finale (Suite). À cents dinars d’or
CD 02
Acte III
01. Scène. Écoutez ! écoutez les clairons d’or !
02. Introduction et Barcarolle. Ma belle, effleurons de nos rames (Une jeune esclave)
03. Danse grecque
04. Danse espagnole
05. Romance. Je m’efforce en vain de te plaire ! (Ben-Saïd)
06. Trio. Mon frère ! Il faut qu’Hadjar (Hadjar, Xaïma, Ben-Saïd)
07. Scène. Sa dernière heure décidera mon sort !
08. Morceau d’ensemble. Un pardon de ta bouche altière !
09. Scène. À la pitié pour moi, qui souffre tant
10. Duo. De sa mort qui donc parle ici ? (Hermosa, Xaïma)
11. Duo (Suite). Que s’est-il donc passé ? (Hermosa, Xaïma)
Acte IV
12. Introduction et Cavatine. J’ai pu, la nuit venue (Manoël)
13. Scène et Duo. Manoël ! Sans moi tu veux mourir ? (Xaïma, Manoël)
14. Scène, Romance et Trio. Malheureux ! (Hermosa, Xaïma, Manoël)
15. Trio (Suite). Mais sans mourir (Hermosa, Xaïma, Manoël)
16. Scène et Cavatine. Lui ! Manoël ! Encore ! (Ben-Saïd, Xaïma)
17. Duo. Tu mens, traître ! (Ben-Saïd, Xaïma)
18. Scène. Tu ne passeras pas !
19. Cantabile et Scène. Te la rendre !
20. Scène finale. Non ! N’appelle personne
After Polyeucte (1878), Gounod tackled the operatic genre for the last time in 1881 with what is probably his most ambitious work, Le Tribut de Zamora. The action takes place in ninth-century Spain – from Act Two onwards, on ‘a picturesque site on the banks of the Guadalquivir before Córdoba’. Here Gounod – finally noted more for his neoclassical pastiches (Le Médecin malgré lui and Cinq-Mars) and his ardent Romanticism (Faust and Roméo et Juliette) – was given an opportunity to display his talents as an orchestrator and colourist in an exotic setting. He produced an epic in the tradition of French grand opéra, with numerous ensembles and showpiece airs. Despite an unequivocal success on its first run, despite the stirring national anthem ‘Debout! Enfants de l’Ibérie’, Le Tribut de Zamora sank into oblivion within a few short years. We can now appreciate in this opera precisely what certain detractors complained of at the time: the fact that we meet here once again the irresistible lyricism of Faust and Roméo et Juliette.